Dernières actualités avec #mission spatiale


Le Figaro
11-08-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Tom Hanks rend un vibrant hommage à l'astronaute Jim Lovell, qu'il a incarné dans Apollo 13
« Il y a des gens qui osent, qui rêvent et qui entraînent les autres vers des lieux où nous n'irions pas seuls», a salué l'acteur ayant endossé le rôle du commandant de la mission spatiale, décédé le 7 août. Il l'a incarné à l'écran en 1995. Apollo 13, le long-métrage de Ron Howard retrace la mission lunaire, qui a frôlé la catastrophe. Tom Hanks a rendu un vibrant hommage à l'astronaute Jim Lovell disparu le 7 août à 97 ans, saluant sur les réseaux sociaux son humanité et son audace. « Il y a des gens qui osent, qui rêvent et qui entraînent les autres vers des lieux où nous n'irions pas seuls. Jim Lovell, qui pendant longtemps avait été plus loin dans l'espace et plus longtemps que quiconque sur notre planète, était de ceux-là », a écrit Tom Hanks. « Ses nombreux voyages autour de la Terre et jusqu'aux portes de la Lune n'étaient pas motivés par l'appât du gain ou la célébrité, mais parce que relever de tels défis est le carburant même de la vie, et qui mieux que Jim Lovell pour entreprendre ces voyages. » Et l'acteur de conclure: « En cette nuit de pleine lune, il s'en va vers les cieux, le cosmos, les étoiles. Bonne route pour ce nouveau voyage ». Publicité « Houston, nous avons un problème » Jim Lovell a commandé la mission Apollo 13 lancée le 11 avril 1970, neuf mois après les premiers pas de Neil Amstrong sur la Lune. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu. Une explosion est survenue en plein vol, entraînant une fuite d'oxygène. « Houston, nous avons un problème », avait alors annoncé le commandant au centre de contrôle de la Nasa. Jim Lovell, Fred Haise et Jack Swigert auraient donc pu perdre la vie si la NASA n'avait pas réussi à improviser de toute urgence le sauvetage de l'équipage, ramené sain et sauf sur Terre. Après cette mauvaise expérience, l'astronaute américain n'a plus jamais voulu retenter l'aventure. Le réalisateur d'Apollo 13, Ron Howard a également souhaité saluer la mémoire de l'astronaute. « Le simple fait de l'avoir connu a été un immense honneur. Son mélange d'intellect, de courage et de sens du devoir en faisait l'un des individus les plus remarquables que j'aie rencontrés », a-t-il salué sur les réseaux sociaux. L'adaptation cinématographique de la mission a connu un véritable succès, ayant notamment reçu neuf nominations aux Oscars avant de remporter les trophées du « meilleur montage » et du « meilleur son ». En 2023, le film a été sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry des États-Unis par la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».


Le Parisien
08-08-2025
- Science
- Le Parisien
« Houston, on a eu un problème » : le commandant de la mission Apollo 13 Jim Lovell est mort, annonce la Nasa
En 1970, Jim Lovell et son équipage avaient réussi l'exploit de revenir vivants sur Terre de la mission Apollo 13 qui avait connu un grave problème technique en chemin pour la Lune. Ce sauvetage et le courage des astronautes avaient tenu en haleine toute la planète. Il est aussi resté célèbre car pour signaler à la Nasa une avarie sur le vaisseau, Jack Swigert, un des membres de l'équipage, avait lancé ce message radio : « Houston, on a eu un problème ». Phrase reprise ensuite par Jim Lovell, commandant d'Apollo 13, pour confirmer que la mission était gravement compromise. « La Nasa présente ses condoléances à la famille du capitaine Jim Lovell, dont la vie et l'œuvre ont inspiré des millions de personnes au fil des décennies », a déclaré l'agence spatiale dans un communiqué, saluant son « caractère et son courage inébranlable » ayant permis aux États-Unis « d'atteindre la Lune ».


Le HuffPost France
08-08-2025
- Entertainment
- Le HuffPost France
Inoxtag risque bien de rivaliser avec Katy Perry avec son nouveau rêve de voyage
PEOPLE - Toujours plus loin, toujours plus haut. Cette maxime empruntée à Olivier Minne dans Fort Boyard pourrait convenir à Inoxtag. Dans une interview accordée au youtubeur Le Bouseuh, que Télé Loisirs a récemment repérée, la star des réseaux sociaux a évoqué son nouveau voyage de rêve, encore plus fou que l'Everest ou l'Atlantique. Où ça ? Dans l'Espace. Mais attention, pas question d'y faire un aller-retour de onze minutes, comme Katy Perry et ses camarades du dernier vol Blue Origin. « La vidéo que j'y ferais serait une vidéo où je suis un entraînement comme un astronaute », explique-t-il à son confrère, au volant de son van. Son souhait : « passer six mois » dans la station spatiale internationale. « Pas juste pour monter dans l'espace et redescendre, assure Inoxtag, Inès Benazzouz de son vrai nom. Y passer quatre heures, ça, je ne le ferais pas. Mais si c'est une vraie mission, ouais. » Il voit les choses en grand, parle de cinéma. « Mon plus grand rêve, c'est de faire le prochain Interstellar. Je veux faire le meilleur film de l'histoire en France », a-t-il ajouté. Suivi par plus de 9,2 millions d'abonnés sur YouTube, le jeune homme d'à peine 23 ans a frappé un grand coup dans la fourmilière en 2024, année au cours de laquelle son documentaire Kaizen sur son ascension du mont Everest a été la vidéo la plus regardée en France sur la plateforme. Inoxtag à l'eau Même s'il s'est aussi attiré des critiques l'accusant d'encourager le surtourisme dans cette région du monde, le film de près de 2 h 30 sorti à la mi-septembre cumule aujourd'hui plus de 44 millions de vues. Auparavant, il avait attiré 340 000 spectateurs en avant-première au cinéma, avant d'être diffusé sur TF1, puis sur Disney +. Depuis, Inoxtag s'est lancé dans plusieurs autres défis de taille, dont le plus récent : une traversée de l'océan Atlantique. Une mission accomplie dans le courant du mois de juillet, à l'issue de laquelle il a été accueilli en Martinique comme un véritable héros. Nous, il faudra patienter un peu avant d'en connaître les dessous en vidéo.


Le Parisien
02-08-2025
- Science
- Le Parisien
« Très heureux de nous joindre à vous » : la capsule Crew Dragon de Space X s'arrime à l'ISS avec quatre personnes à bord
Un équipage de quatre personnes, dont un Russe, à bord de la capsule SpaceX Crew Dragon , s'est amarré samedi à la Station spatiale internationale (ISS) , où ils séjourneront pendant environ six mois. « L'amarrage a été confirmé », a posté SpaceX sur les réseaux sociaux, accompagné d'une vidéo montrant le contact avec l'ISS à 8h27 heure de Paris, loin au-dessus du sud-est de l'océan Pacifique. Les astronautes américains Zena Cardman et Mike Fincke, le Japonais Kimiya Yui et le cosmonaute de Roscosmos Oleg Platonov ont décollé ce vendredi matin du Centre spatial Kennedy en Floride, leur capsule étant montée sur une fusée Falcon 9. Il s'agit de la onzième mission de rotation d'équipage vers l'ISS dans le cadre du programme Commercial Crew de la Nasa, créé pour succéder à l'ère de la navette spatiale en s'associant à l'industrie privée. « Nous avons des boissons fraîches, de la nourriture chaude et nous vous attendons. À bientôt », a dit l'équipage de l'ISS aux nouveaux arrivants peu après le contact, selon la vidéo mise en ligne. « Bonjour la station spatiale, Crew-11 est ici et nous sommes très heureux de nous joindre à vous », a répondu Mike Fincke. Durant sa mission de six mois, Crew-11 simulera des scénarios d'alunissage qui pourraient se produire près du pôle Sud lunaire dans le cadre du programme Artemis mené par les États-Unis pour retourner sur la Lune. Ils testeront également les effets de la gravité sur la capacité des astronautes à piloter des vaisseaux spatiaux, y compris les futurs atterrisseurs lunaires. Habité en permanence depuis 2000, le laboratoire volant qu'est l'ISS sert de banc d'essai essentiel pour la recherche sur l'exploration spatiale, notamment concernant les missions éventuelles vers Mars. Crew-11 détient également à son bord des fruits, des grenades d'Arménie, qui seront comparées à un lot témoin resté sur Terre afin d'étudier l'influence de la microgravité sur la croissance des cultures. Modèle de coopération internationale réunissant l'Europe, le Japon, les États-Unis et la Russie, l'ISS a commencé à être assemblée en 1998. Sa mise à la retraite était prévue en 2024, mais la Nasa a estimé qu'elle pouvait fonctionner jusqu'en 2030.


La Presse
01-08-2025
- Science
- La Presse
Un nouvel équipage international est en route vers la SSI
Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Un nouvel équipage international est en route vers la SSI Un équipage de quatre personnes, dont un Russe, lancé par la NASA et SpaceX est en route vendredi vers la Station spatiale internationale (SSI), où ils séjourneront pendant environ six mois. Agence France-Presse Les deux astronautes américains, Zena Cardman et Mike Fincke, le japonais Kimiya Yui et le cosmonaute russe Oleg Platonov ont décollé à 11 h 43 heure locale du Centre spatial Kennedy, en Floride, à bord de la fusée Falcon 9. « C'est un honneur, un privilège et un choix pour nous de participer à quelque chose qui dépasse largement l'Homme, mais ce sont les hommes qui rendent cette entreprise formidable », a déclaré Zena Cardman peu avant le lancement. La capsule Crew Dragon qui doit acheminer l'équipage, nommée « Endeavour » et placée au sommet de la fusée, a déjà été utilisée pour quatre précédentes missions de la NASA, ainsi qu'une mission privée. Les quatre passagers sont cette fois-ci les membres de Crew-11, la onzième mission de rotation régulière de l'équipage américain dans la SSI assurée par SpaceX pour la NASA. La NASA et l'agence spatiale russe Roscosmos, qui opèrent ensemble au sein de la SSI, ont mis en place un programme d'échange d'astronautes, acheminant chacun à tour de rôle un membre d'équipage de l'autre pays. Durant sa mission de six mois, Crew-11 simulera des scénarios d'alunissage qui pourraient se produire près du pôle sud lunaire dans le cadre du programme Artemis mené par les États-Unis pour retourner sur la Lune. Ils testeront également les effets de la gravité sur la capacité des astronautes à piloter des vaisseaux spatiaux, y compris les futurs atterrisseurs lunaires. Crew -11 détient également à son bord des fruits, des grenades d'Arménie, qui seront comparées à un lot témoin resté sur Terre afin d'étudier l'influence de la microgravité sur la croissance des cultures. Habité en permanence depuis 2000, le laboratoire volant qu'est la SSI sert de banc d'essai essentiel pour la recherche sur l'exploration spatiale, notamment concernant les missions éventuelles vers Mars. Modèle de coopération internationale réunissant l'Europe, le Japon, les États-Unis et la Russie, la SSI a commencé à être assemblée en 1998. Sa mise à la retraite était prévue en 2024, mais la NASA a estimé qu'elle pouvait fonctionner jusqu'en 2030. Dmitry Bakanov, directeur de l'agence spatiale russe Roscosmos, s'est entretenu cette semaine avec Sean Duffy, administrateur par intérim de la NASA, au sujet de l'avenir de la station. Il s'agissait de la première rencontre en face-à-face avec son homologue américain depuis 2018. Après la détérioration des relations russo-américaines dues à la guerre en Ukraine, la Russie avait menacé de se retirer prématurément de la coopération concernant la SSI. Jeudi, Dmitry Bakanov a confirmé que son pays restait déterminé à poursuivre l'exploitation de la SSI jusqu'en 2028, et le travail sur sa mise hors orbite jusqu'en 2030, faisant de la Station spatiale internationale l'un des très rares sujets de coopération entre Washington et Moscou.